En dehors des interventions obstétricales, la médecine des ovins est majoritairement une médecine de population. Ainsi la prévention et les vaccinations sont souvent indispensables au bon fonctionnement de l'élevage. Dans ma clientèle, ce sont surtout les avortements qui posent problème. Je rencontre aussi fréquemement des pathologies métaboliques dont l'origine est alimentaire. Mais ces deux dernières années ont été dominées par les boiteries et plus particulièrement le piétin qui se développe préférentiellemment en saison humide.
On distingue deux types d'ateliers :
- Les petits élevages (moins d'une cinquantaine de brebis)
- Les gros élevages (plus de deux cent brebis)